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1.
Annals of the Rheumatic Diseases ; 81:917, 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2008873

ABSTRACT

Background: Rituximab (RTX) induces rapid, usually complete and prolonged depletion of circulating B cells, and also hypogammaglobulinemia in some patients. There are limited data regarding the risk of severe infection events (SIE) when initiating or continuing rituximab in patients with acquired hypogammaglob-ulinemia, especially in patients suffering from autoimmune diseases (ADs) other than rheumatoid arthritis (RA) (1). Objectives: To describe the risk of severe infectious events (SIE) following initiation (rituximab-naïve patients [RNP]) or continuation of RTX therapy (rituxi-mab-continuing patients [RCP]) in patients suffering from severe ADs other than RA and acquired hypogammaglobulinemia. Methods: We conducted a single-center retrospective cohort study at the University Hospital of Toulouse (France) between 2010 and 2018. Patients were included if they had received at least one dose of RTX in the year following the evidence of hypogammaglobulinemia (defned as gammaglobulins [GG]≤ 6g/L on serum protein electrophoresis) in the setting of ADs other than RA. The primary outcome was the occurrence of a SIE within 2 years after the date of frst RTX infusion (T0) prescribed after the evidence of hypogammaglobulinemia. SIE were infections either fatal or requiring hospitalization. Results: We included 121 patients (37 RNP and 84 RCP): 48 had ANCA-as-sociated vasculitis (AAV), 48 multiple sclerosis (MS, n=41) or neuromyeli-tis optica (NMO, n=7), and 21 another severe AD. RTX was prescribed as induction therapy in 39 patients and as maintenance therapy in 82;112/121 patients were followed for 2 years. Mean GG level were 5.5 g/L (IQ25-75 4.6-5.7) at T0, 5.5 g/L (IQ25-75 5-6.4) at one year, 5.7g/L (IQ25-75 4.8-6.1) at two years and 8 patients had a decrease of their GG level below 4g/L. Ten patients received immunoglobulin replacement therapy (IGRT) mostly after infection (n=6). Twenty-six patients (23.2%) had at least one SIE during follow-up: 12.8 % in the MS/NMO group with a 2-year incidence at 6.9 (3.1-15.3) per 100 person-years, 29.5 % in the AAV group with a 2-year incidence at 18.3 (9.3-20.1) per 100 person-years, 33.3 % in the 'other ADs' group with a 2-year incidence at 22.2 (10.6-46.5) per 100 person-years. Infection was opportunistic in 8 patients (33.3%) and 4 died from SIE. Risk factors of SIE at T0 were male gender (61.5% vs. 39.5% p<0.05), lung disease (65.4% vs. 37.2% p=0.01), renal failure (59.1% vs. 28.6% p=0.01), a higher Charl-son comorbidity index (p=0.001), a previous treatment by cyclophospha-mide (53.8% vs. 30.2%;p=0.03), ≥ 5 mg/d prednisone (69.2% vs. 33.7%, p=0.003), lack of pneumococcal vaccination (61.5% vs 31.4%, p=0.01). GG level was 5.3 g/l [4.1-5.6] in the 'SIE' group vs 5.6 g/l [4.8-5.8] in the 'no SIE' group (p=0.04). Incidence of SIE was 46% and 20.2% among patients with GG< 4 g/L or GG≥ 4 g/L, respectively (p=0.07). No multivariable analysis provided reliable results. Conclusion: Our study provides useful information for clinicians considering initiating or continuing rituximab therapy in patients with acquired hypogammaglob-ulinemia before Sars-Cov2 era. Prospective studies are necessary to improve the knowledge on outcome of patients treated by rituximab despite low immu-noglobulins levels. Prophylactic IGRT may be appropriate in higher risk patients, especially if the GG level is below 4 G/L.

2.
Revue de Médecine Interne ; 43:A127-A127, 2022.
Article in French | Academic Search Complete | ID: covidwho-1900154

ABSTRACT

La vascularite à IgA (VIgA) touche principalement les petits vaisseaux de la peau, du tube digestif, du rein et les articulations. Elle survient habituellement après une infection virale des muqueuses respiratoires ou digestives. La vaccination contre la COVID-19, à grande échelle, a parfois déclenché ou révélé certaines pathologies auto-immunes. Dans ce contexte, nous décrivons une série de patients adultes qui ont présenté une VIgA survenue dans les suites d'une infection au SARS-CoV-2 ou une VIgA dans les suites d'une vaccination contre la COVID-19. Cette étude rétrospective nationale multicentrique a inclus des observations de VIgA qui ont fait suite à une infection par le SARS-CoV-2 ou une vaccination contre la COVID-19 entre le 1er janvier 2020 et le 1er janvier 2022. Les patients éligibles avaient une vascularite prouvée histologiquement, et une infection à SARS-CoV-2 prouvée par un test RT-PCR. Le délai maximum entre l'infection ou la vaccination et le début des symptômes de vascularite était fixé à 4 semaines. Dix-neuf patients ont été inclus. Dix étaient des femmes (53 %) et l'âge médian était de 52 ans avec un écart interquartile de [16–82]. Treize VIgAs ont été diagnostiquées après une vaccination (68 %), pour 7 patients après la première dose (54 %), 4 après la 2e dose (31 %) et pour 2 patients après un schéma vaccinal complet. Six patients avaient été vaccinés par vaccin Bnt162b2 (46 %), avec un délai médian d'apparition de 16,5 jours [4–28], 5 par mRNA1273 (39 %) avec un délai de 3 jours [1–22] et 215 %) par ChAdOx1 après 4 et 5 jours. Deux patients (15 %) présentaient des signes généraux à type d'asthénie, 13 (100 %) avaient une atteinte cutanée, nécrotique chez 4 patients (31 %). Des arthralgies étaient présentes chez 7 patients (54 %), et 215 %) avaient respectivement une atteinte digestive et une atteinte rénale non graves. La C-reactive protein (CRP) médiane était de 25 mg/l [2,3–75], la créatininémie médiane était de 72 μmol/l [50–250], un patient avait un DFG < 60 ml/min en MDRD à la prise en charge. Dix patients (77 %) ont eu un traitement de première ligne, 8 (80 %) ont été traités par corticoides et 2 par colchicine. Deux patients15 %) ont eu une rechute après une nouvelle vaccination, cutanée, et une cutanéo-articulaire. Nous avons également inclus six VIgA post infection à SARS-CoV-232 %). Cinq patients avaient une infection pauci symptomatique (83 %) et un a nécessité 48 h d'oxygénothérapie à bas débit. Un patient avait une maladie de Crohn et un patient un antécédent ancien de vascularite indéterminée. Deux patients (33 %) présentaient des signes généraux à type d'asthénie, fièvre et amaigrissement, 6 (100 %) avaient une atteinte cutanée purpurique. Des arthrites étaient présentes chez 3 patients (50 %), 3 (50 %) avaient respectivement une atteinte digestive non compliquée et une atteinte rénale et 1 une atteinte ORL. Une biopsie rénale était réalisée chez 2 patients et montrait des dépôts mésangiaux d'IgA. La CRP médiane était de 180 mg/l [15,1–225], la créatininémie médiane était de 65 μmol/l [41–169], un patient avait un DFG < 60 ml/min en MDRD à la prise en charge. Cinq patients (83 %) ont eu un traitement de première ligne, tous avec des corticoïdes (100 %). Cette série décrit l'émergence de cas de VIgA post vaccinale et post infectieuse à la COVID-19 sans que nous ne puissions éliminer un lien fortuit. Leur évolution, au vu de cette série, semble cependant favorable et rassure sur la possibilité de complétion du schéma vaccinal recommandé. (French) [ FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full . (Copyright applies to all s.)

3.
Revue de Médecine Interne ; 43:A112-A112, 2022.
Article in French | Academic Search Complete | ID: covidwho-1900148

ABSTRACT

Le rituximab (RTX) induit une déplétion rapide, généralement complète et prolongée des cellules B circulantes. Une hypogammaglobulinémie survient sous traitement incluant du RTX chez certains patients. Il existe peu de données concernant le risque d'événements infectieux graves (EIG) lorsque l'on choisit d'initier ou de poursuivre le rituximab alors qu'une hypogammaglobulinémie secondaire au traitement d'une maladie auto-immune (MAI) (autre que la polyarthrite rhumatoïde (PR)) a été diagnostiquée. Cette étude s'est déroulée avant l'ère du SARS-CoV-2. L'objectif de notre étude était de décrire le risque d'EIG après l'initiation (patients « naïfs ») ou la poursuite du traitement par RTX (patients "pré-traités") chez des patients avec hypogammaglobulinémie acquise au cours du traitement d'une MAI autre que la PR. Nous avons mené une étude de cohorte rétrospective monocentrique au CHU de Toulouse (France) entre 2010 et 2018. Les patients ont été inclus s'ils avaient reçu au moins une dose de RTX dans l'année suivant la mise en évidence d'une hypogammaglobulinémie dans le cadre d'une MAI autre que la PR. L'hypogammaglobulinémie était définie par un taux de gammaglobulines [GG] ≤ 6 g/L à l'électrophorèse des protéines sériques. Le critère de jugement principal était la survenue d'un EIG dans les 2 ans suivant la date de la première perfusion de RTX (T0) prescrite après la mise en évidence de l'hypogammaglobulinémie. Les EIG étaient définis comme des infections fatales ou ayant nécessité une hospitalisation. Nous avons inclus 121 patients 37 « naïfs » et 84 pré- traités ») : 48 avaient une vascularite associée aux ANCA (VAA), 48 une maladie démyélinisante du système nerveux central (sclérose en plaques (SEP), n = 41) ou une neuromyélite optique (NMO), n = 7), et 21 une autre MAI sévère [pemphigus ou pemphigoïde bulleuse (n = 7), purpura thrombocytopénique immunologique (n = 4), cryoglobulinémie (n = 2), polychondrite atrophiante (n = 2), syndrome de Sjögren (n = 2), vascularite inclassée (n = 2), connectivite mixte (n = 1), dermatopolymyosite (n = 1), anémie hémolytique auto immune (n = 1), neuropathie anti-MAG (n = 1), polyradiculonévrite (n = 1), périartérite noueuse (n = 1)]. Le RTX a été prescrit comme traitement d'induction chez 39 patients et comme traitement d'entretien chez 82 ;112/121 patients ont été suivis pendant 2 ans. Le taux moyen de GG était de 5,5 g/L (IQ25–75 4,6–5,7) à T0, 5,5 g/L (IQ25–75 5–6,4) à un an, 5,7 g/L (IQ25–75 4,8–6,1) à deux ans et 8 patients ont eu une diminution de leur taux de GG en dessous de 4 g/L. Dix patients ont reçu un traitement par immunoglobulines substitutives, principalement après une infection (n = 6). Vingt-six patients (21,5 %) ont eu au moins un EIG au cours du suivi : 12,7 % dans le groupe SEP/NMO soit une incidence de (6,83,1–15,2) pour 100 personnes-années (PA), 27,6 % dans le groupe VAA soit 17,1(9,9–29,4) pour 100 PA, 30,6 % dans le groupe « autres MAI » soit une incidence de 20,9(9,9–42,8) pour 100 PA. L'infection était opportuniste chez 8 patients(30,8 %) et 4 sont décédés des suites d'un EIG. Les facteurs de risque d'EIG à T0 étaient le sexe masculin (61,5 % contre 39,5 % p < 0,05), une maladie pulmonaire (65,4 % contre 37,2 % p = 0,01), une insuffisance rénale (59,1 % contre 28,6 % p = 0,01), un indice de comorbidité de Charlson plus élevé (p = 0,001), un traitement antérieur par cyclophosphamide (53,8 % vs 30,2 % ;p = 0,03), une corticothérapie concomitante (≥ 5 mg/j de prednisone) (69,2 % vs 33,7 %, p = 0,003), une absence de vaccination antipneumococcique6 (1,5 % vs 31,4 %, p = 0,01). Le taux de GG à T0 était de 5,3 g/l [4,1–5,6] dans le groupe "EIG" contre 5,6 g/l [4,8–5,8] dans le groupe "Sans EIG" (p = 0,04). L'incidence des EIG était respectivement de 46 % et 20,2 % chez les patients ayant un taux de GG < 4 g/l ou ≥ 4 g/l. Aucune analyse multivariée n'a pu fournir de résultats fiables. Notre étude fournit des informati ns importantes en pratique clinique sur le risque infectieux encouru par les patients souffrant d'une maladie auto-immune sévère ayant une hypogammaglobulinémie acquise et chez qui le clinicien envisage d'initier ou de poursuivre un traitement par rituximab. Des études prospectives sont nécessaires afin d'améliorer les connaissances et d'identifier les facteurs de risque indépendants au sein de cette population immunodéprimée. La vaccination antipneumococcique est fortement recommandée et un traitement substitutif par immunoglobulines semble se justifier en prévention primaire chez les patients à haut risque, particulièrement si l'hypogammaglobulinémie est < 4 g/L. (French) [ FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full . (Copyright applies to all s.)

4.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S33-S34, 2022.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-1867507

ABSTRACT

Introduction L'incidence des infections à EPC est croissante en France et leur mortalité est élevée, proche de 40 %. Les options thérapeutiques sont limitées selon le type de carbapénémase. L'objectif de cette étude était de mieux décrire les caractéristiques des patients ayant une infection à EPC, ainsi que l'évolution et le pronostic de ces infections. Matériels et méthodes Etude rétrospective observationnelle portant sur les épisodes infectieux à EPC traités par antibiotiques entre le 1erjanvier 2020 et le 31 décembre 2021. Nous avons étudié les caractéristiques microbiologiques des bactéries à l'origine des infections, les caractéristiques cliniques des patients, les traitements reçus, ainsi que l'évolution clinique et la mortalité à 30 jours. L'échec clinique était défini comme l'absence d'amélioration ou l'aggravation de l'état clinique du patient, et l'échec microbiologique comme une persistance d'EPC dans les prélèvements. Résultats Vingt-six patients, dont 6 femmes, ont été inclus, âge médian de 59 ans [17-77 ans]. Quinze patients (57,7 %) étaient immunodéprimés (transplantés d'organe solide 5, hémopathie maligne 8, cancer actif 2), et 7 (26,9 %) étaient hospitalisés pour une infection à SARS CoV2. Neuf patients avaient séjourné à l'étranger dans le mois précédant l'infection. Dix-sept patients (65,4 %) étaient hospitalisés en réanimation. Les bactéries en cause étaient :K. pneumoniae dans 18 cas, entérobactéries du groupe 3 dans 6 cas, C. koseri et E.coli une fois. Vingt souches étaient productrices de NDM, 4 d'Oxa-48, 1 de KPC et 1 de NDM et Oxa-48. Les infections étaient responsables d'un sepsis/choc septique dans 12 cas (46,2 %). Une bactériémie était présente dans 13 épisodes (50 %). L'origine de l'infection était pulmonaire dans 11 cas (42,3 %), dont 9 PAVM, urinaire dans 4 (15,4 %), cutanée dans 4 (15,4 %), digestive dans 3 (11,5 %), ostéoarticulaire une fois (3,8 %) ou indéterminée dans 3 cas (11,5 %). Vingt-deux épisodes (84,6 %) ont été traités par une combinaison d'antibiotiques. La combinaison la plus fréquemment utilisée était l'association de ceftazidime-avibactam et aztreonam (11 cas, 42,3 %), pour traiter une souche productrice de NDM. La colimycine était utilisée dans 11 infections (42,3 %), le plus souvent en association. Le céfidérocol était prescrit dans 3 infections (11,5 %), en monothérapie dans 1 cas, en combinaison avec de la colimycine dans 2 cas. Trente jours après la fin du traitement, 13 patients (50 %) étaient guéris, 2 (7,7 %) étaient en échec clinique et/ou microbiologique, 2 (7,7 %) avaient rechuté, 6 (23,1 %) étaient décédés (décès imputables à l'infection dans tous les cas) (3 perdus de vue). Conclusion Les infections à EPC restent rares et principalement à NDM, touchant surtout des patients immunodéprimés ou hospitalisés en réanimation. Onze patients ont bénéficié d'un traitement par ceftazidime-avibactam/aztreonam et 3 par céfidérocol. La mortalité globale des patients reste élevée à 23,1 %. Aucun lien d'intérêt

5.
Rev Med Interne ; 41(11): 732-740, 2020 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-837063

ABSTRACT

BACKGROUND: Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) infection has spread worldwide from epicenter of Wuhan, China since December 2019. The aim of our study was to describe the clinical characteristics and outcome of hospitalized patients with SARS-CoV-2 pneumonia at the Toulouse university hospital, France. PATIENTS AND METHODS: We selected the patients included from March 7, 2020 to April 20, 2020 in the retrolective Covid-clinic-Toul cohort that follows all hospitalized patients with SARS-CoV-2 infection at the Toulouse Hospital. Cases were confirmed by real-time reverse transcriptase polymerase chain reaction. We report demographics, clinical, biological and radiological features, as well as unfavorable outcome at Day 14 after admission (admission in an intensive care unit, mechanical ventilation, death). RESULTS: Among 263 hospitalized patients, the median age was 65 years and 155 (58.9%) were males. Two hundred and twenty-seven patients (86.3%) had at least one comorbidity. The median time from first symptom to hospital admission was 7.0 days (interquartile range: 4-10). On day 14 after admission, 111 patients (42.2%) had been transferred to intensive care unit (ICU), including 50 (19.0%) on Day 1; 61 (23.1%) needed mechanical ventilation and 19 patients (7.2%) had died. Patients admitted to ICU at Day 1 of admission (n=50) were more frequently men (66.0% vs 57.3%), smokers (25.0% vs 7.1%), with obesity (42.0% vs 24.7%) and had a higher mean level of C-reactive protein (median: 110.9mg/L vs 46.2mg/L). CONCLUSION: This cohort provides epidemiological data on SARS-CoV-2 in hospitalized patients in a University hospital in the South of France.


Subject(s)
COVID-19/diagnosis , COVID-19/therapy , Aged , Cohort Studies , Female , France , Hospitalization , Hospitals, University , Humans , Male , Middle Aged , Treatment Outcome
6.
Medecine et Maladies Infectieuses ; 50 (6 Supplement):S65, 2020.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-833369

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2020

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